Tarak Mekki un disjoncté mental clandestinement installé à Montréal converti en un marchand de condiments. Moncef Marzouki, un docteur en médecine converti en poète surréaliste et en griot sur les rues de Saint-Denis. Tous les deux se livrent une bataille sur Facebook et s’insultent mutuellement. Dans des vidéos qui versent dans le clownesque, ils déversent leur pathologie. Le public cible, c’est la jeunesse tunisienne, disent-ils.
J’ai visionné quelques vidéos par curiosité. Et ce qui me chagrine, c’est que ces deux spécimens d’un autre temps, d’une autre planète ne connaissent rien en la Tunisie prospère d’aujourd’hui. Ils sont complètement déconnectés des réalités du pays. Ils n’ont aucune idée de ce qu’est devenue la jeunesse dans un pays qu’ils haïssent tant. Ces deux individus passent à côté de débats intéressants. Si j'exclus les rares conquis par les idées incongrues, quelques unes des réactions les plus fréquentes varient entre l'indignation, le rejet, l’hébétude, l'incompréhension, le mépris et la moquerie. Un autre point de convergence entre Tarak Mekki et Moncef Marzouki, c’est leur schizophrénie et leur mégalomanie.
http://www.facebook.com/notes/ahmed-bediri/tarak-mekki-et-moncef-marzouki-une-guerre-de-videos/167299966619267
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